Dans sa volonté de faire poursuivre le président Mohamed Bazoum pour haute trahison présumée et atteinte à a sécurité de l’Etat, la junte nigérienne se voit confrontée à une salve de condamnation et de rejet de la communauté internationale. Après le communiqué de la CEDEAO qui a assimilé cette intension des militaire à de la provocation, d’autres hautes personnalités et institutions à travers le monde mettent aussi en garde.
C’est le cas de Josep Borell, le président de la commission de l’union européenne. “Je dénonce la volonté de la junte d’accuser Mohamed Bazoum de haute trahison. Un nouveau geste de provocation contre la démocratie au Niger”, peut-on lire dans un de ses tweets.
Le chef de la diplomatie européenne a aussi réitéré son appel “pressant au retour à l’ordre constitutionnel et libération immédiate du Président légitime”, Mohamed Bazoum.