Éducation : la rentrée universitaire annoncée pour le 16 octobre (officiel)

C’est désormais officiel, le 4 septembre prochain est la date retenue par le ministère de l’enseignement supérieur de la recherche scientifique et de l’innovation pour le démarrage des orientations des nouveaux étudiants. C’est la ministre de tutelle qui a fait cette annonce ce week-end au cours d’une conférence de presse tenue à Kaloum. 

Devant un parterre de journalistes, Docteure Diaka Sidibé a également indiqué que le 16 octobre prochain est la date retenue pour la rentrée universitaire session 2023/2024. Au cours de la rencontre, l’oratrice, entourée de ses collaborateurs, a également expliqué les conditions d’adminission des nouveaux bacheliers dans les différentes filières.

Déjà depuis quelques jours, le département a rendu publiques les capacités d’accueil de chaque institution d’enseignement supérieur ainsi que les notes d’adminission. “A travers l’accroissement des capacités d’accueil des institutions d’enseignement, nous avons plus de 25 mille 915 places répertoriées. Le premier critère, le candidat doit être titulaire d’un diplôme de baccalauréat ou équivalant. Le deuxième critère, le candidat doit choisir les programmes correspondants à son profil”, informe la ministre.

Cette année, comme nouvelle innovation le département précise que pour la première fois, l’institut de formation à distance recevra des nouveaux étudiants.  Mieux encore,” l’ISSEG, à cause de sa moyenne d’accès à toutes ces filières fixée à 12 sur 20, cela permettra de former des formateurs qualifiés et compétitifs” ajoute Docteur Oumar Doumbouya, Directeur général de l’enseignement supérieur.

Cette année, plus de 25 mille bacheliers sont attendus dans les universités publiques du pays. A quelques jours de ce coup d’envoi, la ministre Diaka Sidibé à mis en garde certains cadres véreux de son département face à toute tentative de fraude lors des inscriptions des nouveaux étudiants. Selon la ministre,  “seul la plateforme Gupol demeure l’unique plate-forme d’inscription. Même si c’est un cadre de mon ministère, il n’a ni de près ni de loin le droit de faire inscrire un étudiant dans une université”, a conclut la conférencière.

MLYans

Author: La Rédaction

Related posts

Le chef d’état-major des armées françaises confirme un possible déploiement opérationnel en Guinée

70 personnes soupçonnées de terrorisme arrêtées à Kourémalé : le sous-préfet explique 

Kankan : un mort et des blessés dans un accident